Voici quelques commentaires recueillis sur le site de cyberpresse:
eric
Vous n'avez jamais travailler dans le milieu de la santé ni mis les pieds en dehors du Québec mon cher monsieur, pour dire que nos CLSC sont un modèle.
jacques noel
L'ami Kodsi devrait se renseigner avant d'écrire n'importe quoi. Le Canada de Ken Dryden voulait copier les garderies à 7 dollars de Pauline Marois. On parle depuis longtemps de copier aussi l'Assurance-médicament de Jean Rochon. Notre réseau de CLSC fait l'envie de tout le Canada. Sans parler de notre industrie culturelle, véritable petit chef -d'oeuvre de créativité qui tient tête à la grosse machine hollywoodienne.Le capital de risque du Fonds de Solidarité, nos réseaux de solidarité sociale, le Mouvement Desjardins font aussi l'envie du reste du Canada. Nos universités à 1900$ par année attirent des étudiants de tout le Canada. Nos chèques de BS, les plus généreux aussi au Canada, attirent des pauvres de tout le pays. Bref, le Québec est un phare d'imagination dans un Canada tellement plate. D'ailleurs je me demande ce qu'on y fait encore...
Je suis plutôt d'accord avec l'intervenant précédent: vos exemples ne sont pas les plus grands succès québécois à mon avis. Par ailleurs, je remarque qu'un seul exemple, le Fonds de solidarité, sort du monde bi-polaire public privé.
micxhel lafrance
En lisant tous ces textes des dernieres semaines concernant la contestation des groupes organisés qui défendent les droits de monsieur tout le monde, en attendant l'étude que sont en train de faire des universitaires pour comprendre l'impopularité du gouvernement Charest, en esseyant de comprendre pourquoi nos entrepreneurs qui sont pourtant aider par les Chambres de Commerce,subventionner par les gouvernements,qui ont les moyens de se payer les meilleurs bureaux de relations publiques ne sont pas capables de présenter un projet emballant et qui ne rencontrera pas d'opposition soutenue,il m'est revenu cette phrase de Bertolt Brecht qui résume assez bien le désarroi de nos décideurs et la seule manière d'y remédier.La voici :«NE SERAIT-IL PAS PLUS SIMPLE QUE LE GOUVERNEMENT DISSOLVE LE PEUPLE ET EN ÉLISE UN AUTRE» La cassure est tellement grande que la question se pose...
Je crois que fondamentalement, le principe de démocratie commande que les gouvernements suivent la volonté des électeurs. Rien ne sert donc de changer le peuple, comme le proposait Brecht! Par contre, les moyens à prendre pour atteindre les objectifs de la population devraient être déterminés par des spécialistes. Depuis quand un député, un syndicaliste ou un chroniqueur a-t-il la connaissance suffisante à déterminer le meilleur moyen pour améliorer l'efficacité des services sociaux?? Bref, on doit mettre fin à la gérance d'estrade québécoise!
eric
Vous n'avez jamais travailler dans le milieu de la santé ni mis les pieds en dehors du Québec mon cher monsieur, pour dire que nos CLSC sont un modèle.
jacques noel
L'ami Kodsi devrait se renseigner avant d'écrire n'importe quoi. Le Canada de Ken Dryden voulait copier les garderies à 7 dollars de Pauline Marois. On parle depuis longtemps de copier aussi l'Assurance-médicament de Jean Rochon. Notre réseau de CLSC fait l'envie de tout le Canada. Sans parler de notre industrie culturelle, véritable petit chef -d'oeuvre de créativité qui tient tête à la grosse machine hollywoodienne.Le capital de risque du Fonds de Solidarité, nos réseaux de solidarité sociale, le Mouvement Desjardins font aussi l'envie du reste du Canada. Nos universités à 1900$ par année attirent des étudiants de tout le Canada. Nos chèques de BS, les plus généreux aussi au Canada, attirent des pauvres de tout le pays. Bref, le Québec est un phare d'imagination dans un Canada tellement plate. D'ailleurs je me demande ce qu'on y fait encore...
Je suis plutôt d'accord avec l'intervenant précédent: vos exemples ne sont pas les plus grands succès québécois à mon avis. Par ailleurs, je remarque qu'un seul exemple, le Fonds de solidarité, sort du monde bi-polaire public privé.
micxhel lafrance
En lisant tous ces textes des dernieres semaines concernant la contestation des groupes organisés qui défendent les droits de monsieur tout le monde, en attendant l'étude que sont en train de faire des universitaires pour comprendre l'impopularité du gouvernement Charest, en esseyant de comprendre pourquoi nos entrepreneurs qui sont pourtant aider par les Chambres de Commerce,subventionner par les gouvernements,qui ont les moyens de se payer les meilleurs bureaux de relations publiques ne sont pas capables de présenter un projet emballant et qui ne rencontrera pas d'opposition soutenue,il m'est revenu cette phrase de Bertolt Brecht qui résume assez bien le désarroi de nos décideurs et la seule manière d'y remédier.La voici :«NE SERAIT-IL PAS PLUS SIMPLE QUE LE GOUVERNEMENT DISSOLVE LE PEUPLE ET EN ÉLISE UN AUTRE» La cassure est tellement grande que la question se pose...
Je crois que fondamentalement, le principe de démocratie commande que les gouvernements suivent la volonté des électeurs. Rien ne sert donc de changer le peuple, comme le proposait Brecht! Par contre, les moyens à prendre pour atteindre les objectifs de la population devraient être déterminés par des spécialistes. Depuis quand un député, un syndicaliste ou un chroniqueur a-t-il la connaissance suffisante à déterminer le meilleur moyen pour améliorer l'efficacité des services sociaux?? Bref, on doit mettre fin à la gérance d'estrade québécoise!
Farid Kodsi
Tout ce qui se fait au Québec est reconnu comme - MODÈLE - alors que la plupart des programmes sont copiés sur l'Ontario, les provinces de l'Ouest, la France et quelques États américains mais comme la grande majorité des Québécois ne se renseigne qu'auprès des médias québécois francophones, de nombreux Québécois ne sont pas souvent au courant de ce qui se passe ailleurs qu'au Québec et s'imaginent à tort que c'est seulement le Québec qui bénéficie de tels programmes alors que ces programmes existent depuis des années dans d'autres provinces et d'autres pays car le modèle québécois n'est souvent qu'un calque d'autres programmes qui fonctionnent depuis des années dans d'autres provinces du pays.
Il est vrai qu'on est bons, au Québec, pour se targuer d'avoir des modèles uniques alors que plusieurs autres pays adoptent des solution semblable. Il ne faut pas pour autant réduire la porté et l'éclat de nos succès! De même, on doit aussi tirer les leçons de nos échecs... je crois que c'est ce qui manque actuellement.