(An English abstract follows)
Voici quelques commentaires laissés au sujet de ma dernière participation au Québec grand angle sur le site de cyberpresse.ca
Louis Comtois
M. Laraque,je demeure en Outaouais depuis 20 ans, et j'aimerais bien que vous m'expliquiez comment les gens d'Ottawa font 40% de plus en salaire que ceux de Montréal....c'est absolument faux.
M. Laraque,je demeure en Outaouais depuis 20 ans, et j'aimerais bien que vous m'expliquiez comment les gens d'Ottawa font 40% de plus en salaire que ceux de Montréal....c'est absolument faux.
Eheheheheheh! Et voilà dans les dents! Merci bien de confirmer mes recherches!
Benoît Giguère
Tiens toé ! Que tous les François Saillant et autres prophètes du millénium trotskyste se le tiennent pour dit: beaucoup de gens ont de moins en moins de tolérance envers leurs éternelles jérémiades gauchistes. Enfin une bouffée d'air frais.
Tiens toé ! Que tous les François Saillant et autres prophètes du millénium trotskyste se le tiennent pour dit: beaucoup de gens ont de moins en moins de tolérance envers leurs éternelles jérémiades gauchistes. Enfin une bouffée d'air frais.
Merci du commentaire. Vous nommez des gens, ce que j'ai choisi de ne pas faire pour des raisons évidentes...
Patrick Laraque
Petit exte intéressant mais qui analyse la question du coût du logement en évacuant une variable comparative cruciale. Cet oubli fausse complètement les conclusion de l'auteur. Si nous voulons comparer le coût du logement entre Montréal et les autres villes canadiennes de même taille ou plus grande (car aux dernières nouvelles Toronto était plus grande que Montréal) alors il faut comparer dans son ensemble et non selon les données qui font l'affaire de notre pretite 'analyse' économique. Mon cher monsieur, vous oubliez de discuter des salaires! Si le coût du logement est plus cher à Ottawa et bien les salaires le sont aussi! Même chose pour Toronto et Vancouver. Or, si le coût du logement monte comme vous le désirez et ce pour 'brisez le cercle vicieux' est-ce-que les salaires vont suivrent?? Allons nous voir le salaraire moyen ici grimper de 40% pour s'enligner avec celui de Toronto ou Ottawa?
Petit exte intéressant mais qui analyse la question du coût du logement en évacuant une variable comparative cruciale. Cet oubli fausse complètement les conclusion de l'auteur. Si nous voulons comparer le coût du logement entre Montréal et les autres villes canadiennes de même taille ou plus grande (car aux dernières nouvelles Toronto était plus grande que Montréal) alors il faut comparer dans son ensemble et non selon les données qui font l'affaire de notre pretite 'analyse' économique. Mon cher monsieur, vous oubliez de discuter des salaires! Si le coût du logement est plus cher à Ottawa et bien les salaires le sont aussi! Même chose pour Toronto et Vancouver. Or, si le coût du logement monte comme vous le désirez et ce pour 'brisez le cercle vicieux' est-ce-que les salaires vont suivrent?? Allons nous voir le salaraire moyen ici grimper de 40% pour s'enligner avec celui de Toronto ou Ottawa?
Les salaires en Ontario sont de 25 à 30% plus élevés qu'à Montréal. Ça laisse toujours une écart non négligeable de 15 à 20% pour Toronto... c'est qui n'est pas rien! En bon économiste, j'avais effectivement vérifié! Vous avez bien essayé de me prendre... gamin va!
francine petit
Peut-être est-ce que je me trompe, mais il me semble qu'à force de voir les organismes qui défendent les intérêts des personnes habitant les secteurs défaforisés rejeter tout projet redonnant de la valeur à leur secteur, ils se referment sur eux-mêmes confinés dans des logements sociaux.A moins, que la venue de ces projets, au lieu de leur être bénéfique, fasse que ces derniers les "tassent" de leur secteur sous prétexte qu'ils le dépare.
Peut-être est-ce que je me trompe, mais il me semble qu'à force de voir les organismes qui défendent les intérêts des personnes habitant les secteurs défaforisés rejeter tout projet redonnant de la valeur à leur secteur, ils se referment sur eux-mêmes confinés dans des logements sociaux.A moins, que la venue de ces projets, au lieu de leur être bénéfique, fasse que ces derniers les "tassent" de leur secteur sous prétexte qu'ils le dépare.
TOUT À FAIT D'ACCORD! En craignant ce qu'ils appellent la "gentrification" comme la peste, ils créent des ghettos! Et que faire de la théorie de l'émulation complètement écartée dans leur discours...
Alain Prairie
L'auteur est juste dans son analyse et j'ai déjà hâte de lire les pro-pauvres, les pro-démunis et les pro-crastineux.De l'emploi, il y en a, mais le Canada doit importer des travailleurs pour supporter les secteurs boudés par les Québécois qui ont décidé d'avoir une vie riche en temps et cholestérol plutôt que de travailler et d'être fier de leurs efforts et réussites.
L'auteur est juste dans son analyse et j'ai déjà hâte de lire les pro-pauvres, les pro-démunis et les pro-crastineux.De l'emploi, il y en a, mais le Canada doit importer des travailleurs pour supporter les secteurs boudés par les Québécois qui ont décidé d'avoir une vie riche en temps et cholestérol plutôt que de travailler et d'être fier de leurs efforts et réussites.
Peu de commentaires des gens que vous décrivez, malheureusement... Mais vous avez raison sur un point: les Québécois, comme les Français, veulent non seulement le beurre, l'argent du beurre mais aussi la vache avec! Il faudra faire des choix un jour ou l'autre!
Farid Kodsi
Avec des syndicats et des groupes de pression qui veulent tout geler...les loyers, l'hydro, la scolarité etc., il est tout naturel que les logements et les établissements soient dans un état pitoyable et c'est en grande partie la faute du gouvernement précédent ultra socialiste du Parti québécois.
Avec des syndicats et des groupes de pression qui veulent tout geler...les loyers, l'hydro, la scolarité etc., il est tout naturel que les logements et les établissements soient dans un état pitoyable et c'est en grande partie la faute du gouvernement précédent ultra socialiste du Parti québécois.
Selon moi, les groupes de pression ont plus à voir que les partis politiques: le PLQ ne fait guère mieux en fait de mettre les groupes sociaux au pas...
une locataire
cher monsieur l'économiste...avec votre idée, où logez-vous une famille avec trois enfants et dont le revenu familial se situe autour de 35 000 dollars? est-ce que cette famille doit nourrir ses enfants au "kraft dinner" pour pouvoir payer un taudis à 1000 dollars par mois (12 000 par an tel que vous le proposez) ce qui revient à 35% du revenu brut annuel!!
cher monsieur l'économiste...avec votre idée, où logez-vous une famille avec trois enfants et dont le revenu familial se situe autour de 35 000 dollars? est-ce que cette famille doit nourrir ses enfants au "kraft dinner" pour pouvoir payer un taudis à 1000 dollars par mois (12 000 par an tel que vous le proposez) ce qui revient à 35% du revenu brut annuel!!
Qui a dit que toutes les familles de 3 enfants et 35000$ annuellement devaient se loger à Montréal? Des emplois qui rapportent 35000$ à deux parents sont aussi présents en banlieu qu'en ville car ce sont des emplois demandant peu de qualifications... Par ailleurs, j'aurais apprécié connaître votre identité. Je signe mes chroniques à ce que je saches! (J,ai même ma photo!)
Jacques Tremblay
J'aime bien cette opinion. Sans dénigrer le rôle des groupes de pressions et les difficultés que vivent certains locataires, ce texte met en lumière les difficultés auxquelles font face tous les propriétaires d'immeubles, même les mieux intentionnés.Au Québec, on a parfois l'impression que c'est un crime de vouloir faire de l'argent (ou à tout le moins de ne pas en perdre) avec un investissement, mais qui va construire des logements abordables s'il est impossible de les renntabiliser? Le gouvernement? Dans ce cas c'est autant d'argent qui n'ira pas à la santé, l'éducation et d'autres besoins criants de notre société
J'aime bien cette opinion. Sans dénigrer le rôle des groupes de pressions et les difficultés que vivent certains locataires, ce texte met en lumière les difficultés auxquelles font face tous les propriétaires d'immeubles, même les mieux intentionnés.Au Québec, on a parfois l'impression que c'est un crime de vouloir faire de l'argent (ou à tout le moins de ne pas en perdre) avec un investissement, mais qui va construire des logements abordables s'il est impossible de les renntabiliser? Le gouvernement? Dans ce cas c'est autant d'argent qui n'ira pas à la santé, l'éducation et d'autres besoins criants de notre société
Quel beau mot de la fin! Surtout en ce qui a trait à cette tarre génétique qu'est la volonté de faire de l'argent!
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This message presents the comments written on www.cyberpresse.ca (in french) about my last column. They are mostly positive, denouncing the toot large part take by social lobbies and unions in Quebec's debates. Some support the idea that social groups are creating ghettos by excluding any mixity of the richs and the poors. Others say that québécois wants everything without paying. There is unanimity among the supporters about the need to promote alternative discourses, other than unions' and lobbies' discourses. My comments are generally positive.
Two messages are against the opinion I expressed in my column. The first say the salaries are much more important in Ontario than in Quebec and that might tend to explain the lower cost of housing in Quebec. I checked that particular point and even after adjustement for wages, housing is 15 to 20% lower in Quebec. The other one says a family of three cannot survive in Montreal with 35000CAN$ of revenues. I answered it was possible for those families to live a decent life outside the city...
1 comment:
Monsieur Laberge,
Merci pour votre texte. C’est quand même incroyable que personne ou presque ne comprends que la cause principale de la vétusté des logements abordables québécois est la loi sur la Régie des loyers. Cette loi, depuis sa promulgation, a fait perdre des dizaines de milliers de dollars à des propriétaires de PLEX qui, majoritairement, sont de petits épargnants et non de riches propriétaires immobiliers tels que lu dans le texte de Katia Gagnon et de Hugo Meunier de La Presse.
Il est évident que l’immobilier n’est pas un domaine rentable pour ce qui est des petits PLEX de moins de 8 logements. Ces petits propriétaires ont tellement de difficulté à justifier les maigres augmentations annuelles qu’ils n’ont pas le choix que de lésiner sur les rénovations. La morosité de ce marché a fait que depuis une vingtaine d’années les constructeurs préfèrent construire de petits immeubles de 6 à 8 logements pour en vendre les appartements en copropriété plutôt que de les vendre à de petits propriétaires qui exploiteraient ces constructions neuves en immeubles locatifs.
Le Québec est malheureusement victime de tous ces groupes de pression qui gueulent plus qu’ils ne créent.
J’en suis désolé.
Claude Leclair, Rosemère, le 1er avril 2006
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